Née le 1er janvier 1939 à Nice (France). De son vrai nom Jocelyne Yvonne Renée Mercier, aussi connue sous le nom Michèle Mercier. Principalement connue pour son rôle dans les films de la série Angélique marquise des anges et malgré une filmographie peu abondante, elle est considérée comme une des plus grandes actrices du cinéma populaire français.
Tout d'abord danseuse, elle débute sa vie professionnelle à Paris avec les «ballets de la Tour Eiffel», avant de monter sur la scène du théâtre des Champs-Elysées en 1954 dans «Ma nuit est une sorcière» et «Gosse de paris» ballet créé par Charles Aznavour.
Elle débute à l'écran en 1957 sous la direction de Denys de La Patellière dans Retour de manivelle, aux côtés de Michèle Morgan. Michèle étant le prénom de sa soeur décédée et Michèle Morgan étant sa marraine de cinéma, c'est à la mémoire de l'une et en l'honneur de l'autre qu'elle choisira le prénom «Michèle» pour continuer sa carrière cinématographique.
A cette époque, amoureuse de Giani Esposito, elle refuse les avances du Shah d'Iran. Tournant souvent en Italie, elle tombe amoureuse d'André Smagghe, réalisateur, qu'elle épousera en 1961 pour six ans de vie commune. Elle tourne quelques films avec divers réalisateurs, souvent dans des rôles de femme légère. Les films les plus marquants de sa jeune carrière sont Tirez sur le pianiste (1960) de François Truffaut, avec Charles Aznavour et Marie Dubois, et l'Aîné des Ferchaux (1963) de Jean-Pierre Melville, aux côtés de Jean-Paul Belmondo et Charles Vanel.
En 1964, elle devient ensuite Angélique marquise des anges réalisé par Bernard Borderie. Les cinq films de cette série très prisée (1964-1967) en font une des stars les plus populaires du cinéma français. Elle alterne d'autres films auprès de Jean Gabin (Le Tonnerre de Dieu), Marcello Mastroianni (Casanova '70), ou encore Robert Hossein (La Seconde vérité, Une Corde, un Colt)...
Cette image de grande star ne durera guère, craignant de s'enfermer dans son personnage, elle arrête la série et sa carrière, après Une veuve en or en 1969 de Michel Audiard, s'essoufflera dans des films de faible intérêt.
Tout d'abord danseuse, elle débute sa vie professionnelle à Paris avec les «ballets de la Tour Eiffel», avant de monter sur la scène du théâtre des Champs-Elysées en 1954 dans «Ma nuit est une sorcière» et «Gosse de paris» ballet créé par Charles Aznavour.
Elle débute à l'écran en 1957 sous la direction de Denys de La Patellière dans Retour de manivelle, aux côtés de Michèle Morgan. Michèle étant le prénom de sa soeur décédée et Michèle Morgan étant sa marraine de cinéma, c'est à la mémoire de l'une et en l'honneur de l'autre qu'elle choisira le prénom «Michèle» pour continuer sa carrière cinématographique.
A cette époque, amoureuse de Giani Esposito, elle refuse les avances du Shah d'Iran. Tournant souvent en Italie, elle tombe amoureuse d'André Smagghe, réalisateur, qu'elle épousera en 1961 pour six ans de vie commune. Elle tourne quelques films avec divers réalisateurs, souvent dans des rôles de femme légère. Les films les plus marquants de sa jeune carrière sont Tirez sur le pianiste (1960) de François Truffaut, avec Charles Aznavour et Marie Dubois, et l'Aîné des Ferchaux (1963) de Jean-Pierre Melville, aux côtés de Jean-Paul Belmondo et Charles Vanel.
En 1964, elle devient ensuite Angélique marquise des anges réalisé par Bernard Borderie. Les cinq films de cette série très prisée (1964-1967) en font une des stars les plus populaires du cinéma français. Elle alterne d'autres films auprès de Jean Gabin (Le Tonnerre de Dieu), Marcello Mastroianni (Casanova '70), ou encore Robert Hossein (La Seconde vérité, Une Corde, un Colt)...
Cette image de grande star ne durera guère, craignant de s'enfermer dans son personnage, elle arrête la série et sa carrière, après Une veuve en or en 1969 de Michel Audiard, s'essoufflera dans des films de faible intérêt.
Michèle Mercier a été élevée au rang de chevalier des Arts et Lettres, le lundi 6 mars 2006, par le ministre de la Culture et de la communication, Renaud Donnedieu de Vabres.
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